- Augmenter toutes les collectes dédiées à la formation professionnelle car il existe trop de refus de prise en charge par manque de budget donc il faut obtenir que :
- 10% de la masse salariale soit consacré à la formation continue
- 10% du temps de travail soit consacré à la formation continue (ça se fait dans l’armée, et là c’est pour apprendre à tuer…)
- Utilisation du FMEP = sécurisation des parcours professionnels
- Les EP ne doivent pas être exclues des plans de formation (2.1%)
- On doit obtenir un poste correspondant à sa nouvelle qualification dès l’obtention du diplôme
- L’obligation de servir est dans la FPH et non dans l’établissement
- Toutes les formations doivent se faire sur le temps de travail. (A moins que ce soit à la demande de l’agent – exemple : DIF)
- Les EP ne sont pas exclues du CFP mais attention : à compter de la seconde année de formation la prise en charge tombe à 85% pour les catégories C.
- Pendant les EP ne pas rappeler les agents sur les vacances scolaires (LMD).
- Les agents ont droit à leurs CA, les autres « vacances » sont utilisées comme temps de travail personnel et peut servir aux rattrapages éventuels.
- Tous les salariés doivent percevoir, durant leur formation, l’intégralité de leurs salaires, primes et éléments variables compris.
- Reconnaissance (financière) du titre ou diplôme obtenu et la reconnaissance de l’élévation des compétences après une formation.
- Favoriser l’accès à la promotion professionnelle, notamment aux formations des métiers paramédicaux.
Pour les agents sans qualification accès automatique dans les 6 premiers mois dans la FPH ou dès la fin de la période d’essai pour les CDI à :
-Une remise à niveau si besoin
-Une formation qualifiante reconnue d’au moins un niveau V (CAP ou BEP) équivalent au titre IV de la FPH
Pour les agents avec qualification :
– L’accès automatique et adapté à une remise à niveau ou un bilan de compétences en vue d’un projet professionnel (si besoin)
– L’accès à la formation pour tous les agents, au moins une fois par an, sur le plan de formation
– L’élévation d’au moins un niveau de qualification au cours de sa carrière
- Négocier en CTE une valeur de journée de formation. Un agent ne doit pas rendre des heures sur une journée de travail.
- L’ensemble des fonds doivent être utilisés afin qu’un maximum d’agents puissent partir en formation.
- Les études promotionnelles doivent être favorisées.
- Une étude promo ne doit pas être refusée sous prétexte qu’un poste n’est pas prévu. On ne doit pas pénaliser un agent pour cette raison.
- Nous devons pouvoir participer à l’élaboration du plan de formation et être force de propositions.
- Dans les EP on prend tout en charge, frais pédagogiques et frais de déplacements et d’hébergement. Pas de forfait ni de coupes arbitraires.
- La prise en charge des EP dure sur la durée de la formation. Pas de prise en charge demandée à l’agent. Si l’EP dure 10 mois la PEC dure 10 mois, si elle dure 36 mois la PEC dure 36 mois.
- Créer des CCF si elles n’existent pas.
- Chaque fois que l’occasion se présente, demander l’augmentation des taux de remboursements actuels. Nous devons défendre le droit à la formation pour tous les agents, sans distinction d’âge, de sexe, de grade ou de spécialité…
- Aucune avance financière (pour frais de transport ou d’hôtel) ne doit être supportée par l’agent (avance de 75% par l’ANFH possible)
- Un dispositif d’accompagnement personnalisé permettant à chacun de sécuriser son parcours doit être proposé aux agents
- Tout agent reçu à un concours d’entrée en école doit être obligatoirement pris en charge avant la perte du bénéfice de son concours d’entrée
- Les syndiqués détachés à temps plein doivent pouvoir bénéficier de formations inscrites au plan
- La formation (en vue d’une reconversion) doit être possible même si l’agent est en maladie (CLM, CLD)
- Continuer la liste…